Place à la voix envoûtante de Lina Modika.
Poésie chantée, spoken word et mélodies douces pour dire le monde, ses fractures, ses beautés. Elle parle d’exil, d’amour, d’identité — avec des mots qui touchent juste, des sons qui restent.
Description
Une invitation musicale à la lenteur, à la rêverie et à l’émotion.
Ouvrez grand vos oreilles : Lina et Zan nous offrent un concert à ciel ouvert, intimiste, rêveur et profondément vivant.
C’est une voix qu’on n’oublie pas. Tantôt douce et brumeuse, tantôt tendue d’émotion, la voix de Lina nous cueille dès les premières notes. Elle nous emmène loin, dans un monde de crépuscules moites, de rails qui s’éloignent, de paysages intérieurs qu’on croyait perdus. Avec elle, le temps s’étire, flotte, se suspend. On y entend l’écho de Björk, le souffle d’un jazz minimal, des airs venus d’ailleurs — Louisiane fantasmée ou poésie du quotidien.
À ses côtés, Zan, guitariste discret et essentiel, tisse le lien, la soutient, l’emmène. Ensemble, ils forment un duo rare, complice, sobre, lumineux.
Lina Modika, c’est une présence singulière, une énergie douce, une voix à la fois fragile et puissante, des mots simples ou mystérieux qui touchent droit au cœur. Pas besoin de tout comprendre : on ressent, on voyage, on plane.
Sélectionnée aux Inouïs du Printemps de Bourges, applaudit un peu partout, elle nous fait l’honneur d’une escale à Montjustin à l’heure de l’apéro. Alors prenez un verre, installez-vous, et laissez-vous porter par ce moment suspendu.